Pour pallier le manque de logements dans la capitale, la mairie compte sur la mutation de bureaux obsolètes et/ou inoccupés. Elle s’est fixé un objectif de production de 250 000 m2 d’ici à 2020 qu’elle espère atteindre en exonérant ces logements de taxe foncière pendant cinq ans et en autorisant leur réversibilité pendant dix ans. Pas sûr que cela suffise à séduire les promoteurs.