Voté en novembre, le pacte parisien de proximité se présente comme un premier pas vers une forme de décentralisation entre la mairie centrale et les mairies d’arrondissement. Si la première évoque un renforcement de "la territorialisation de son action", les secondes, surtout lorsqu’elles sont gérées par l’opposition, y voient plutôt de la "com'" et une manière de se décharger de sujets délicats, dont la propreté et la sécurité.