Innovation

Le Sedif et Forcity modélisent les futurs besoins en eau potable

Dans le cadre d'une entente de recherche et développement, la start-up ForCity développe pour et avec le Syndicat des eaux d'Ile-de-France (Sedif) un projet de modélisation urbaine systémique adaptée à l'eau potable, baptisé Muse. Ce projet court jusqu'en février 2017, mais les premiers développements ont été présentés en avant-première début juin 2016.

 

La pépinière Promopole reprend de la graine

Avec sa centaine de locaux et près de 70 entreprises hébergées, Promopole est la plus grande pépinière d’Ile-de-France. Détenue depuis 1987 par la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, cette structure généraliste a fait l’objet d’une importante remise à plat depuis l’arrivée à sa présidence, en 2014, d’Othman Nasrou, également conseiller régional. Après une période difficile, "la dynamique est de retour", estime ce dernier.

 

Un incubateur pour les 22 écoles du réseau Ionis

Ouvert en février 2016 dans le 11e arrondissement de Paris, Ionis 361 est adossé au groupe du même nom qui gère 22 établissements spécialisés dans l’informatique, les biotechs, le commerce, le design, le web, etc.
18 start-up issues de ces différents secteurs vont être accompagnées pour une durée de 6 à 18 mois avec l’avantage de pouvoir puiser dans les diplômés du réseau Ionis.

 
Vue du Proto204.

A Bures-sur-Yvette, le Proto204 met l’université dans la ville

C’est un objet de recherche non identifié qui vient de fêter ses deux printemps. Installé sur le campus universitaire de Paris-Sud, dans la halle où a vu le jour le premier accélérateur de particules dans les années 1950, le Proto204 n’est ni un laboratoire de recherche, ni une salle de conférences, ni un lieu de coworking, ni même, malgré ses équipements idoines, un fablab.

Paris&Co dédie une plateforme à l’immobilier de demain

Accompagné notamment par Altarea Cogedim, Cisco, Eiffage, Engie, Gecina ou Icade, Paris&Co a dévoilé, le 11 avril, la première promotion de sa plateforme d’incubation tournée vers l’immobilier de demain. L’objectif est de « favoriser l’émergence de jeunes entreprises innovantes » dans ce domaine, et de « permettre aux grandes entreprises d’être au plus près des évolutions du secteur et des attentes de leurs clients ».

 

Start-up 42 : l’accélérateur de l’Epita pour les entrepreneurs techno

L’Epita, école d’ingénieurs du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), a créé il y a trois ans son accélérateur pour structurer l’accompagnement de ses anciens. Elargi aux start-up avec des profils techno, Start-up 42 organise deux sessions de quatre mois chaque année pour offrir méthode, réseau et hébergement à sept jeunes entreprises. La 7e édition, pour la première fois en anglais, a débuté le 2 mai.

 

L’incubateur de l’Ensam accueille les innovations « produits »

L’incubateur de l’Ecole nationale supérieure d’arts & métiers accueille environ 25 start-up fondées par des ingénieurs ou des doctorants, qui proposent des produits innovants. Skis, exosquelettes, éoliennes, défibrillateurs ou farines d’insectes pour poissons y sont confectionnés. Outre un prêt d’honneur de 40 000 euros, les incubés ont accès à un fablab avec du matériel permettant de confectionner des prototypes.

 

Impulse Partners rapproche start-up et grands groupes de la construction

Fondée il y a quatre ans dans le but d’aider les grands groupes de la construction à innover, Impulse Partners mène deux activités : le conseil et le développement d’écosystèmes pour rapprocher start-up et grands groupes. Quelque 50 jeunes entreprises sont ainsi hébergées sur les sites Boucicaut et du Cargo de Paris&Co. Et parmi ses clients : Bouygues construction, Lafarge, Altarea Cogedim ou Vinci.

 
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