Un article d’Agnès Parnaix et Isabelle Zugetta, de l’IAU, analyse notamment la perception et l’usage qu’ont les élus de la notion de « bassin de vie », et la confronte aux réalités du futur schéma régional de coopération intercommunale (SRCI).
« Coopérations de projets ou d’intérêts, les « coopérations souples » se développent entre collectivités afin de répondre à certains besoins locaux d’intermédiation supracommunautaire. Pour autant, et quelle qu’en soit la tentation, ces structures ne sont pas si simplement susceptibles d’évoluer vers une forme plus intégrée d’intercommunalité », soulignent Agnès Parnaix et Isabelle Zugetta, de l’IAU d’Ile-de-France, dans un article, intitulé « De l’intercommunalité aux coopérations souples », que l’Institut vient de mettre en ligne. Les deux expertes y analysent la perception et l’usage que font les élus de la notion, « floue », de bassin de vie.