Le président de la Fédération des promoteurs immobiliers répond aux questions du Journal du Grand Paris lors du MIPIM 2024, à Cannes. Pour lui, la crise se traduit par des plans sociaux et des licenciements pour certains adhérents de la fédération. Pascal Boulanger estime que, quand la demande de logements repartira à l’issue de la crise, les promoteurs ne pourront proposer suffisamment d’offres en raison de la destruction de leur outil de production. Il propose au gouvernement des solutions qui ne « coûtent rien » à l’État, comme, l’aide aux maires bâtisseurs, ou l’assouplissement des règles de crédit immobilier.
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