Pandémie et crise économique rebattent les cartes des critères de référence des investisseurs immobiliers, qui délaissent les bureaux au profit des datas centers et de la logistique, s’intéressent à l’impact carbone et sociétale des biens et privilégient les zones où la crise sanitaire semble mieux gérée, à l’instar de Berlin, qui détrône Paris à la tête des villes européennes les plus attractives, révèle la dernière étude d’Urban land institute et PwC.