Si l'agglomération rochelaise vise le zéro émission nette d'ici à 2040, elle devra, cependant, compter avec quelques émissions de gaz à effet de serre résiduelles. Pour les séquestrer, elle travaille sur la capacité des sols, des forêts, mais aussi des zones humides à mieux capter le carbone. La renaturation du marais de Tasdon, au coeur de la ville-préfecture, en constitue une illustration.