Sans minimiser les effets de la crise immobilière sur le quartier d’affaires francilien, ceux-ci seraient limités selon Pierre-Yves Guice, directeur général de l’établissement public Paris-La Défense. Si les investissements sont à l’arrêt, les commercialisations se maintiennent. La vacance se stabilise à 15 % mais un tiers correspond aux nouvelles livraisons.