A la question de savoir s’ils comptent rester ou non à La Défense, les professionnels de l’immobilier, réunis le 18 novembre par l’Urban land institute (ULI), ont, d’un commun accord, assuré qu’ils maintenaient leur présence. A condition toutefois que le quartier d’affaires accélère le rythme de sa transformation pour le rendre plus convivial.