Le marché de l’immobilier parisien laisserait à l’abandon des milliers de micrologements décotés. Ces surfaces de moins de 15 m2, habitables mais non exploitées pour la majorité, représentent un véritable vivier qui, une fois réhabilité, peut répondre aux besoins en logement temporaire. Un gisement que l'entreprise Atom entend bien conquérir : d'ici à cinq ans, elle ambitionne d'acheter, de réhabiliter et de mettre en location un millier de ces micrologements parisiens.