Alors que le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) est, pour l’instant, empêché de tester la technologie de l’OIBP (osmose inverse basse pression) dans son usine d’Arvigny (Seine-et-Marne), il entend néanmoins poursuivre la conversion de ses trois principales usines d’eau à cette technologie d’ici à 2031. L'investissement est estimé à 800 millions d'euros.