Lundi 9 décembre en soirée, le Théâtre de la Concorde s'est transformé en salle d'audience pour la tenue d'un procès fictif. Sous le prétexte de la mise en accusation d'une entreprise de produits chimiques ayant provoqué une pollution accidentelle de la Seine, les débats ont été l'occasion d'explorer les pistes de réponses à cette question : et si le fleuve était doté de la personnalité juridique et pouvait défendre ses droits en justice ?
